FIV et transfert unique : pourquoi de plus en plus de médecins le recommandent?

FIV : pourquoi transférer un seul embryon peut être une très bonne idée 💡👶

Saviez-vous que le mois de juin est dédié à la sensibilisation à l’infertilité ? C’est l’occasion parfaite pour parler d’un sujet encore trop souvent entouré de silence : la FIV, ou fécondation in vitro.

Aujourd’hui, on va faire un petit zoom sur une avancée importante dans ce domaine : le transfert d’un seul embryon. Oui, un seul ! Et tu vas voir, ça a tout son sens.

🌱 Un peu d’histoire (rapide, promis !)Tout a vraiment changé en 1978, avec la naissance de Louise Joy Brown, le tout premier bébé conçu grâce à la FIV. Depuis, cette technique a permis à plus de 8 millions de bébés de voir le jour dans le monde entier. C’est énorme, non ? 🙏

La FIV consiste à féconder l’ovule en laboratoire, puis à laisser l’embryon se développer quelques jours avant de le transférer dans l’utérus. Simple en apparence, mais en réalité, chaque étape est pleine de subtilités.

👩‍⚕️ Pourquoi parlait-on souvent de transfert de plusieurs embryons ?

Pendant longtemps, les médecins préféraient transférer deux, voire plusieurs embryons à la fois. Le but ? Maximiser les chances qu’au moins l’un d’eux s’accroche. Car malheureusement, tous les embryons ne réussissent pas à s’implanter.

Mais cette stratégie avait un revers : le risque de grossesses multiples (jumeaux, triplés…), avec leur lot de complications possibles comme les accouchements prématurés ou les soucis de santé pour la maman et les bébés.

✨ Alors pourquoi opter pour un seul embryon ?

Des études récentes montrent que transférer un seul embryon augmente les chances d’une grossesse saine et à terme. L’idée, c’est vraiment de privilégier la qualité plutôt que la quantité.

C’est d’ailleurs la recommandation de l’EBCOG (le Collège Européen d’Obstétrique et de Gynécologie) : dans la majorité des cas, un seul embryon suffit pour optimiser les chances d’avoir un bébé en bonne santé… et une maman aussi 💕.

Cela dit, selon les pays, le nombre d’embryons transférés peut être encadré par la loi. Et la décision finale revient toujours à l’équipe médicale, en concertation avec les futurs parents.

đź§Ş Et la suite ?

La science ne s’arrête pas là. Les techniques de procréation médicalement assistée évoluent chaque jour pour offrir plus de chances à tous ceux et celles qui rêvent de devenir parents, quelles que soient leur histoire ou leurs circonstances.

Tu vois, même si le parcours peut être long et semé d’embûches, il y a plein d’espoir 💛

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